Être et avoir été
Non, vous n'avez pas quatre heures... une heure suffira lundi soir prochain dans Let There Be Rock.
Être et avoir été, c'était la réflexion que je me faisais en pensant à ceux qui ont fait le Rock et qui, pour diverses raisons, ont dévié de leur trajectoire.
Où encore auraient dévié de la trajectoire que leur fans auraient souhaité qu'ils prennent ou maintiennent.
Prenons un exemple : Phil Collins. Prenons un autre exemple : Elton John...
Puis-je les clouer au pilori, sous prétexte qu'il ont collaboré avec Walt Disney Productions ou qu'ils soient programmés sur des radios musicales "pop rock" de grande écoute ? Que leurs dernières chansons soient trop orientées "grand public" ?
Dois-je me contenter de ces dernières productions, apparitions people, de chanter pour l'enterrement de Lady Diana ?...
Même si je ne m'y retrouve pas du tout sur les dernières années (décennies ?) de quelques "anciennes gloires" du Rock, je ne peux pas oublier ce qu'ils ont été et ce qu'ils ont apporté à la musique Rock.
J'ai pris en marche la révolution rock au début des années 70.
Dans cette décennie je ne peux pas passer sous silence l'influence de Genesis (Phil Collins à la batterie) dans le Rock progressif. Non plus dans le Rock le premier album solo de ce dernier en 1981 : Face Value.
Pour mémoire, concert de Noël 1973 à la télévision : en France c'est Tino Rossi, en Grande Bretagne c'est Elton John. Le Elton John qui vient de sortir le double album "Goodbye Yellow Brick Road". Le Elton John trublion, provocateur dans son costume à paillettes et ses lunettes délirantes. Une révolution pour moi !
Si je n'avais pas connu cette époque aurais-je pu apprécier Elton John ou Phil Collins n'en écoutant que leurs dernières productions ? Devrais-je également renier Slade sous prétexte que Noddy Holder, son chanteur, participe à des émissions de télé-réalité ?
Je pourrais me poser la question.
Et je pourrais faire la même démonstration avec David Bowie...
En fait, je ne me la pose pas. Quoi qu'ils soient devenus j'ai beaucoup de respect pour ces (les) artistes.
Vous l'aurez compris, dans la programmation de ce lundi soir 7 décembre vous trouverez du Phil Collins, du Elton John, du David Bowie...
Mais pas que !
Nous continuerons la découverte de l'album du groupe local CHROME (en attendant de les recevoir au Studiom en direct en début d'année 2016).
Nous terminerons comme d'habitude avec un groupe de Rock Espagnol. Sans tout vous dévoiler ils jouaient à Castres au mois de juin dernier... Alors ?
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